Pastorale

mercredi 16 juin 2010

Vie apostolique

La postulante des soeurs discilples du divin Maître  à l'atelir de brodérie.

Production

La soeur DDm est capable de concervoir, produire et diffuser.Chaque production portera la marque "Apostolat liturgique"Car c'est notre style de réaliser notre apostolat sacerdotal.

En brève : Initiation à la mission

Dans une fidelité au Divin Maître dans l'adoration entrain d'interceder pour l'humanité. Vous êtes nés de l'Eucharistie vivez aussi de l'Eucharistie.


L'amour de Jésus Maître vivant dans le prêtre, motive la souer disciple de passer des heures à l'atelier en confectionnant les chasubles, les aubes, étoles, les mitres, les clergymain,...pour les séminaristes, prêtres et les Evêques et toujours en union des prières,travailler en priant pour ceux là qui porterons ces ornements.

Quatre nouvelles Disciples

Le 10 février de cette Année Sacerdotale, jour d’anniversaire de la fondation de notre Congrégation, Anastasie, Esther, Jacqueline et Noël, quatre novices Disciples du Divin Maître se sont librement engagées à la suite du Christ par la première profession religieuse.



Cet événement a motivé la participation à la célébration Eucharistique et à la réjouissance pour le don ineffable reçu du Seigneur, des parents, des amis, des Frères et Sœurs de la Famille Paulinienne.

Le Père Jacques Bosewa (ssp) a présidé la célébration et, dans son homélie, il a encouragé la marche entreprise sur la route de la formation pour devenir Disciples du Divin Maître.

Après la messe d’aucuns regagnaient leurs familles tandis que d’autres ont coopéré à notre joie en partageant le verre d’amitié. La convivialité était d’office à congratuler les néo professes qui se disposent à vivre leur mission. Par ailleurs, elles sont habitées par une crainte, si petite soit-elle, face à la nouvelle expérience de vie qu’elles vont entreprendre comme Disciples du Divin Maître.



Mais elles mettent toute leur confiance en Jésus Maître qui les a engagées à une mission spécifique.

Nous misons sur ces propos de nos aînées pour être assez diligentes dans notre formation.



C’est ainsi que, dans la joie, la musique et pas de danse, nous avons mis fin à une journée d’action de grâce pour le don de quatre nouvelles Disciples du Divin Maître prêtes à annoncer au monde les merveilles de Dieu



Gisèle

Humour

A propos de mon travail pratique




Je revenais tout doucement de la cuisine lorsque j’ai croisé la grande Sœur qui me demanda à quel point été mon travail pratique.
Ma réponse a été évasive, mais j’étais préoccupée.

« A quel point es-tu avec ton T. P.» ? J’ai tourné la demande à une ami.

« Il parait – m’a-t-elle répondu – j’ai tout dit sans rien dire». La même réponse me l’a donnée la deuxième, la troisième et la quatrième postulante…Découragée, j’ai crié vers le Seigneur en lui demandant d’aveugler la grande Sœur devant les insuffisances de mon T. P. le jour que je l’aurais présenté.

Voulez-vous savoir quel a été le résultat ? « Tu as tout dit sans rien dire »…
C’est alors que j’ai décidé de prendre la route et de commencer le chemin vers l’excellence.

Belinda

lundi 14 juin 2010

Aspirer à l’amour parfait.

La conviction avec laquelle on dit d’avoir entendu l’appel de Dieu à la «sequela Christi», à suivre le Christ, fonde le premier amour à la suite du Maître.




C’est cet amour qui donne le courage à briser les chaînes, à franchir les barrières et à prononcer un oui pleine de confiance. C’est encore cet amour, qui soutien la personne au cours des épreuves de la vie, aux moments des découragements, des désolations, etc.



Cet amour suppose l’acquisition d’un certain nombre de vertus comme l’humilité, la sincérité, l’ouverture, pour savoir discerner et accueillir l’aide de celui ou celle qui accompagne au cours de l’approfondissement de la vocation.



On dit bien que la vocation vient de Dieu, c’est lui qui sème, à nous reviens le travail d’arroser par la disponibilité et la prière, mais c’est à l’accompagnateur de sarcler la petite plante qui pousse sur la route de Dieu et du monde.



Alors il faut bien commencer pour mieux atteindre l’objectif de tout homme « soyez saints comme moi-même votre Père je le suis.

Sr. M. Godé

Le premier pas sur la route

C’est à une journée des jeunes organisée à la paroisse, dont les Sœurs Disciples étaient invitées, que j’ai connu la Congrégation où je me trouve aujourd’hui.

Ce jour là je me sentais attirer par les sœurs au point de chercher l’adresse de leur communauté sur le calendrier que j’avais à la maison. Pleine de joie après l’avoir trouvée et toujours plus déterminée dans mon choix, j’ai fixé un rendez-vous avec la sœur chargée de la pastorale des vocations.



Avec bien d’autres jeunes j’ai commencé à fréquenter les rencontres de formation, les recollections ; j’ai fait une expérience de travail apostolique pour un temps que je retenais trop long par apport à mes attente. Un vendredi, finalement (!) j’ai reçu la lettre d’admission à la Congrégation comme Pré- postulante.

Émerveillée, joyeuse, débordante par les sentiments de reconnaissance, j’ai commencée à m’imaginer au couvent !



Aujourd’hui, toujours plus contente d’avoir suivi le Christ qui m’avait dit : « Viens et voies » je répète qu’il est bon de vivre dans la Famille Paulinienne comme Disciple du Divin Maître.





Mireille

Visite à l’imprimerie St. Paul

C’était un mercredi à 14h30 que nous, postulantes DDM, accompagnées par notre maîtresse Sr. M. Clémentine, nous nous sommes rendues à la 10ème rue en visite à l’imprimerie St. Paul.




L’accueil cordial de la part de la personne chargée de nous accompagner a favorisé notre attention et l’intérêt pour le travail apostolique de nos Frères Pauliniens.



Au cours de la visite on nous a expliqué le rôle que joue l’imprimerie dans la mission et pour nous ça été une opportunité pour entrer davantage dans notre formation intégrale, car on s’est rendu compte que tout tourne autour des « quatre roues », de la piété, de l’étude, de l’apostolat et de la pauvreté.



Voire les choses dans le concret c’est la meilleure manière d’apprendre et d’entrer dans le spécifique de la mission paulinienne. Notre Fondateur, le Père Jacques Alberione dit : « L’étude est faite pour la vie et la vie est faite pour l’éternité ».

Cette visite à la Société Missionnaire de Saint Paul a marqué un pas sur notre route formative. Nous devons nous former dans notre apostolat pour être capables de travailler en collaboration.



Cécile

Quatre nouvelles Disciples

Le 10 février de cette Année Sacerdotale, jour d’anniversaire de la fondation de notre Congrégation, Anastasie, Esther, Jacqueline et Noël, quatre novices Disciples du Divin Maître se sont librement engagées à la suite du Christ par la première profession religieuse.



Cet événement a motivé la participation à la célébration Eucharistique et à la réjouissance pour le don ineffable reçu du Seigneur, des parents, des amis, des Frères et Sœurs de la Famille Paulinienne.

Le Père Jacques Bosewa (ssp) a présidé la célébration et, dans son homélie, il a encouragé la marche entreprise sur la route de la formation pour devenir Disciples du Divin Maître.

Après la messe d’aucuns regagnaient leurs familles tandis que d’autres ont coopéré à notre joie en partageant le verre d’amitié. La convivialité était d’office à congratuler les néo professes qui se disposent à vivre leur mission. Par ailleurs, elles sont habitées par une crainte, si petite soit-elle, face à la nouvelle expérience de vie qu’elles vont entreprendre comme Disciples du Divin Maître.



Mais elles mettent toute leur confiance en Jésus Maître qui les a engagées à une mission spécifique.

Nous misons sur ces propos de nos aînées pour être assez diligentes dans notre formation.



C’est ainsi que, dans la joie, la musique et pas de danse, nous avons mis fin à une journée d’action de grâce pour le don de quatre nouvelles Disciples du Divin Maître prêtes à annoncer au monde les merveilles de Dieu



Gisèle

Un signe constructif

Appelés à être « sel de la terre et lumière du monde », les consacrés en Afrique allument cette flamme qui dégage une chaleur de paix, d’amour et de réconciliation; un signe constructif pour chaque homme de bonne volonté.




La Semaine de la Vie Consacrée organisée à Kinshasa par l’ASUMA et l’USUMA, s’est déroulée cette année du 25 janvier au 2 février et a connu diverses activités, entre autres la formation, la prière, la visite aux malades et aux prisonniers.

La messe d’ouverture a été présidée par le Père Roger Wawa ssp, président national de l’ASUMA qui, dans l’homélie, en citant le Synode Africain, a dit: « pour être le sel de la terre et la lumière du monde, les religieux doivent se mettre au service de la réconciliation. Les pistes pour y arriver sont : la vérité, le pardon et la réconciliation ».

La journée de l’adoration a suivi et complété la journée de la célébration eucharistique. L’adoration, en effet est la source dans laquelle les consacrés puisent la force pour toutes leurs activités.



Il y a eu ensuite la journée de la visite aux malades, aux prisonniers et aux plus démunis, dont les religieux et les religieuses concrétisent dans leur vie la phrase célèbre qui dit « La mesure de l’amour est l’amour sans mesure ».



La conférence de la Sœur Josée Ngalula ayant pour thème : « Réconciliation et vie religieuse », a orienté les auditeurs au Synode Africain.



Le sentiment qui nous a habité à la conclusion de cette semaine très riche a été l’action de grâce pour le don que Dieu a fait à l’Eglise de la Vie Consacrée à la suite du Christ.

Belinda

A la suite du Maître

Mû par l’Esprit du Seigneur, le frère Gilbert s’est offert à Dieu pour le service de son peuple en prononçant ses vœux perpétuels. C’est dans cette liesse que, dix jours après, nous avons saisie cette aubaine pour dialoguer avec lui sur son cheminement de formation à la suite du Maître.


Quelles sont les convictions qui vous ont motivé à embrasser la vie religieuse chez les Pauliniens et à tendre vers le sacerdoce ?



J’étais turbulent en famille et les parents m’ont envoyé au séminaire de Laba dans l’espoir d’améliorer mon caractère. Tout se déroulait au séminaire comme à l’accoutumée, les formateurs et les professeurs étaient des prêtres.

De part et d’autre, les Pères Oblats venaient aussi pour la pastorale de vocation et, comme Dieu appelle quand il veut, où il veut et comme il le veut, cet appel a retenti en moi à force de rester à coté des prêtres et mon désir était de devenir prêtre religieux.

La conviction c’est Dieu ; croire à ce qu’on veut être et à ce qu’on veut faire. S’il s’agissait uniquement de forces humaines, cela n’allait pas voir le jour !



La vie est jalonnée d’ombre et de lumière. Pouvez-vous nous en parler de l’une et de l’autre au cours de vos années de formation ?

J’ai eu la chance de vivre dans une communauté composée de différentes nationalités. Cette unité dans la diversité constituait un atout, une richesse dans la fraternité qui nous mettait au diapason les uns les autres, d’où une joie indicible.

Pour les moments sombres je dirai que la mauvaise vision qu’on étiquette le monde religieux, les critiques acerbes des camarades, les mots crus de certains formateurs qu’on jugeaient toujours négatifs nonobstant sa positivité, les moments d’accrochage, tout cela me démotivait parfois, mais nos liens de fraternité et de solidarité me rehaussaient le moral. Mon secret c’est surtout le chapelet. Avec la prière tout est possible, même surpasser les crises de la jeunesse !



Quelle importance accordez-vous aux sœurs dans la Famille Paulinienne ?

Vous, les femmes, vous avez une place de choix. Je n’ai fait l’expérience surtout pendant ma retraite. Vous, les Disciples en particulier, vous avez le souci des pauliniens. Votre présence est une chance. Avec la prière, surtout avec l’adoration, vous êtes au cœur de la Famille et si nous sortons facilement des nos problèmes c’est grâce à vous.



Vous avez déjà parcouru un long trajet dans votre cheminement de formation, avez-vous des conseils à prodiguer à vos jeunes frères et à nous, les postulantes DDM ?

A mes frères je dirai d’être convaincus et d’aimer leur propre vocation ; de l’alimenter continuellement ; de mettre Dieu au centre de tout.

La même chose pour vous. Fixez votre regard sur le Christ et soyez attentives à sa Parole : le Maître parle à tout moment, cultivez le silence pour l’écouter. Soyez des pages vivantes de l’évangile.

Avez-vous un dernier mot à nous dire ?

Avec Dieu on peut tout et on a tout. Sans Lui on a rien

et on n’y peut rien.

Satisfaites d’un partage fraternel très riche, et comblées de gratitude, nous avons promis au frère Gilbert le soutien de nos prières et lui avons demandé de faire de même pour nous, ses petites sœurs Postulantes DDM. Paulette
                                Sur la route de la Famille Paulinienne

                                Nous sommes heureux de vous joindre encore à travers ce deuxième numéro de notre bulletin « sur la route ».

En signe de rappel, dans le numéro précédent, nous vous avions parlé du but de l’initiative de ce bulletin qui est lié à la formation et à l’information de nos jeunes postulantes qui, avec un désir profond, ont décidé de se mettre en route afin de confirmer l’appel de Dieu qu’elles ont reçu de manière individuelle en vue d’une vie communautaire qui partage le même charisme transmis par nos ancêtres dans la foi qui nous sont des modèles
Dans ce nouveau numéro, nous voulons vous parler de char de la Famille Paulinienne.

En effet, pour conduire un véhicule, il y a des conditions à remplir sans lesquelles, il est impossible de le faire. Ces conditions sont les suivantes: connaître les différentes parties ou éléments qui composent le véhicule et leurs utilités, avoir suivi une formation sur le code routier, être informé des différents panneaux et signaux routiers, être apte et avoir une prise de conscience des risques qui y sont associés, être titulaire d’un permis de conduire valable…;en cas de panne, recourir à un mécanicien compétent.

Il en est ainsi du char Paulinien. Il est à la disposition de celui ou celle qui sa déclare membre de la Famille Paulinienne.

Ce membre est sensé d’avoir compris les quatre éléments fondamentaux qui caractérisent ce char identifiés aux quatre roues à savoir: la Spiritualité, l’Apostolat, la Pauvreté et l’Étude.

Par conséquent, il est exigé à celui ou celle qui guide d’y consacrer toute son intelligence, sa volonté, son affectivité, toutes ses forces physiques, ses dons naturels obtenus de la grâce de Dieu qui présupposent un profond sens de responsabilité et beaucoup de vigilance pour empêcher tout ce qui pourrait faire obstacle. La vigilance suppose l’utilisation des précautions nécessaires, se mûrir de tout ce qui est indispensable pour ne pas tomber en panne.

Dans ce cas, la conduite devient plus difficile par rapport à celle d’un véhicule, car la vie intérieure entre en jeu. Le Bienheureux Jacques Alberione affirme que la vie intérieure est une chose très difficile à gouverner. On sous entend parlant la gouvernance du cœur, de langue, des yeux, de goût, d’audition, de toucher, en bref la gouvernance des sens ; la gouvernance de tout son être partout et à tout moment. En cas de panne, Dieu en est le Grand Mécanicien, il est le secours sûr.

Nous sommes donc invités à nous mettre sur la route, à rester toujours au volant du matin au soir sans nous laisser distraire, car la bonne marche de ce char dépend en grande partie de nous. En cas d’impossibilité, Dieu est là pour nous secourir.



Sœur Marie Clémentine
En ce numéro:



                  * Sur la route de la Famille Paulinienne

                   * Un homme enraciné de son temps

                  * A la suite du Maître

                   * Quatre nouvelles Disciples

                   * Visite à l’Imprimerie St Paul

                   * Un signe constructif

                       En brève: « Initiation à la mission »

                         • Aspirer à l’amour parfait











* Aspirer à l’amour parfait
Veux-tu



Vivre le Christ et l’annoncer à tes frères ?



Veux-tu



Servir l’Eglise par l’apostolat Eucharistique, Sacerdotale et Liturgique ?



Es-tu



Une jeune chrétienne intelligente, sociable et en bonne santé ?



As-tu



L’autorisation de tes parents ou tuteurs pour t’orienter vers la vie religieuse ?



Veux-tu



Nous connaître d’avantage ?

Ecris à :



-









































































Sœurs Disciples du Divin Maître

226/3, 5ème Rue - Limete Q. I.

Kinshasa RDC













Comme Marie et les femmes de l’évangile

qui furent les premières à témoigner

du Ressuscité,









les Sœurs Disciples du Divin Maître

suivent le Christ et le servent dans l’Eglise.









Fondées par le B. Père Jacques Alberione le 10 février 1924 et approuvé définitivement le 30 août 1960,

les Sœurs Disciples du Divin Maître

sont présentes dans les cinq continents.







Le Père Fondateur choisit Orsule Rivata

pour être sa première collaboratrice dans le Christ







Au sein de la culture de la communication

nous promouvons l’art et la liturgie

afin que la communauté chrétienne

vive, prie et célèbre dans la dignité et dans la beauté

















Dans le ministère de la prière incessante

nous intercédons

pour l’Eglise et pour les peuples,

en particulier pour les prêtres,

pour les apôtres et les artisans

de la communication médiatique

afin que l’humanité retrouve Dieu en Jésus Christ

et que tous aient la vie et l’aient en abondance.

jeudi 3 juin 2010

Marie Reine des Apôtres

 Dans le cheminent vocationnel,je pense que le chemin le plus court et le plus sûr pour arriver à Jésus Maître, est celui qui passe par Marie Reine des apôtres qui nous adonné le Christ au monde.Chacun des nous doit être en mesure de donner le Christ à d'autres qui ne le connaissent pas encore par le témoignage de sa vie, de sa foi;.Comme ces femmes de l'Evangile, les Soeursdisciples du divin Maître qui ont compris à travers leur fondateur le Bienheureux Jacques Albérione que il faut marcher toujours sous le regard de la Reine des apôtres qui a sû resté fidélè à sa mission jusqu'à sa dormition.

Le pardon " réconciliation transforme les autres"

                               Aujourd'hui j'essaie de refléchir sur le pardon, un thème d'actualité pour chaque chrétien et sur tout pour celui qui veut se mettre à la suite du Christ.
                              « Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera délié dans le ciel » (Mt18, 18)
A la lumière de ce passage, les paroles de pardon d’Etienne et de Jésus prennent une nouvelle signification Alors Etienne s’écriait : « Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! » un jeune homme, Saul de Tarse, se trouvait là. Cette prière de pardon délia Saul de sa condamnation sur la terre et il fut aussi délié dans le ciel. Peu de temps après, le Seigneur se révéla à Saul sur le chemin de Damas alors qu’il était en route pour persécuter les chrétiens. Cette prière d’Etienne changea donc le cours de l’histoire et pour paul et pour l'humanité et pour lui même.

                                Voyons maintenant les paroles que Jésus prononça sur la croix : « Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Savons-nous ce qui serait passé si Jésus n’avait pas prononcé ces paroles ? Le jugement serait venu sur l’humanité et nous aurions tous péri. Cette parole nous a libérés du jugement.
                                 Cependant Pardonner une personne ne signifie en aucun cas approuver ses mauvaises actions ; ne veut pas non plus dire justifier le péché.  Notre pardon permet donc à Dieu d’agir dans nos vies. IL augmente notre foi et notre capacité d’accomplir l’œuvre que Dieu nous a confiée. C’est un canal par lequel nous pouvons apporter la miséricorde de Dieu aux autres.
Le jour où nous apprendrons à pardonner, nous verrons nos prières exaucées. C’est alors que nous serons vraiment prêts à annoncer son Evangile et à accomplir les œuvres que Jésus a faites.
Oui, cela vaut la peine de pardonner ; Quand Dieu pardonne, son but est avant tout de rétablir la communion rompu par le pêché de l’homme.

mardi 13 avril 2010

Qui cherchez vous?

Allez dire à ses disciples:" qu'il est ressuscité d'entre les morts"(Mt28,7)

Les Soeurs Disciples du Divin Maître, une congrégation religieuse de droit pontifical, annoncent la résurrection du Christ Maître à leurs frères et soeurs par les moyens de communication sociale , en étant au service de Jésus présent dans :
- l'Eucharistie,
- le sacerdoce,
- la liturgie (les fidèles).

Bienvenue chez nous

Nous sommes étudiante en Théologie Doctrinale à l'Institut Saint Eugène de Mazenod. En fait l'Institut Sinte Eugène a pour objectif de former les agents pastoraux dont à savoir les futurs prêtres, les religieux et religieuses, et les laïcs utiles pour la mission de l'annonce de la bonne nouvelle.
Et c'est dans le cadre de notre seminaire nommé Atelier paratique sur la communication que nous avons préferé entre dans ce monde.